Quand les Z-scores parlent

by:StatManWindy1 semaine passée
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Quand les Z-scores parlent

Les chiffres ne mentent pas (mais ils font mal)

J’ai observé ces matchs depuis le coin d’un bar de Chicago, mon café refroidi en troisième période. La semaine 12 n’était pas un hasard — c’était une exorcise statistique. Trente-huit matchs, zéro émotion — seulement des données brutes. La défense ne reposait pas sur le cœur — mais sur le timing.

Prenez les Métropolitains : ils n’ont pas seulement marqué ; ils ont systématisé la pression. Leur ultime objectif n’était pas un miracle — c’était un Z-score au-dessus de .95 en efficacité possessionnelle. Et quand les Élites Bar ont tenu Waldor Denda à zéro ? Ce n’était pas de la chance — c’était l’espace.

StatManWindy

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