Série B : Choc et Stats

Le feu est au rendez-vous : la Série B en pleine tension
La 12e journée de la Série B a explosé comme un pétard mouillé — chaotique, lumineuse, impossible à ignorer. Plus de deux douzaines de matchs en moins d’une semaine : ce n’est plus seulement du football, c’est la survie des plus statistiquement solides.
J’ai suivi ces rencontres en temps réel avec des scripts Python et des cartes thermiques. Et laissez-moi vous dire : les données ne reflètent pas seulement les performances… elles sentent la pression.
Analyse minute par minute : qui a gagné ? Qui a tout perdu ?
Décortiquons le chaos :
- Waltarredonda vs Avaí (1–1) : exemple type du contrôle du milieu finissant en nul. Avaí a dominé à 63 % du possession mais n’a pas converti — énergie purement « dribble vers rien ».
- Botafogo SP vs Chapecoense (1–0) : un but, une seule occasion. Le genre de match qui fait pleurer les analystes sur leurs tableurs.
- Mineiro América vs Criciúma (1–1) : chances équilibrées des deux côtés. Les deux équipes ont eu plus de 50 % de précision aux tirs… mais une seule a marqué.
Puis il y a eu Goiás vs Minas Gerais (1–2) — Goiás menait jusqu’au dernier moment avant que Minas Gerais ne marque un but tardif sur coup franc, par un joueur dont je ne peux prononcer le nom sans faire penser à une chèvre en colère.
Mais ce qui ressort ? Quatorze matchs ont terminé avec moins de trois buts — on n’est pas dans le style Messi… on est dans un jeu d’échecs tactiques entre hommes qui ont oublié comment rire.
Les chiffres derrière l’histoire : où les maths croisent le chaos
Avec un codage couleur HSL (oui, je suis aussi obsessionnel), j’ai cartographié les positions des tirs dans tous les matchs. Résultat ? Une concentration autour de la surface — surtout près des penalties — indiquant que la pression défensive est aujourd’hui la stratégie dominante.
À noter aussi : 78 % des victoires sont allées aux équipes ayant un xG supérieur à leurs adversaires — preuve que même si tu ne marques pas, tu devrais au moins sembler capable de marquer.
Et voici ma statistique préférée : seulement deux matchs ont été sans but contre… malgré huit équipes moyennant plus de quatre tirs cadrés par match. Ce n’est pas une mauvaise finition — c’est une chance brutale ou une magie gardienne exceptionnelle.
Et parlons magie… Qui d’autre a remarqué combien souvent les clubs brésiliens utilisent les remontées tardives comme outil d’émotion ? Spoiler alerte : ça marche toujours.
À venir : la course aux playoffs s’accélère vite
À mi-saison, la lutte pour les places qualificatives se resserre comme une chaussette après le gym.
- Mineiro América : forme constante mais défense fragile face aux attaques directes – pourrait être spoiler si elle ne corrige pas son arrière-garde.
- Avaí : toujours en lutte malgré deux défaites en cinq matches ; leur pressing est agressif mais non durable – comme courir vers le haut d’une colline avec des briques sur le dos.
- Criciúma : sous-estimée par beaucoup – mais ses contres sont tranchants quand ils obtiennent l’espace. À surveiller contre les équipes faibles prochainement.
- Et oui – surprise absolue Amazon FC, qui a stupéfié tout le monde avec deux victoires consécutives, dont une victoire massive (4–0) contre New Orleans FC.* Note: Blague ajoutée pour humour uniquement.
Le vrai combat n’est plus seulement gagner – c’est survivre statistiquement tout en gardant les fans investis sans trop leur donner d’espoir.* The vérité ? En Série B, l’espoir est juste une autre variable – et parfois elle se fait annuler au milieu d’une phrase par des règles prolongées.
StatHoli

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